La pollution atmosphérique (ozone et particules de diesel) aurait un rôle important dans l’augmentation de fréquence des allergies aux pollens.
Ainsi, la pollution extérieure augmente les risques de crise d’asthme, tout comme les polluants intérieurs. Mais ce n’est qu’une pièce du puzzle.
Le réchauffement climatique par exemple augmente la période de pollinisation. D’autres explications sont également avancées : le stress, l’augmentation des allergènes dans ce que nous mangeons et nous touchons. Le mode de vie a changé et nous sommes en contact avec de potentiels allergènes que l’on n’avait pas avant.
Un exemple : les noix de cajou et les pistaches à l’apéritif. Plusieurs études ont montré qu’avec un mode de vie rural traditionnel (à la ferme, avec des animaux, sans produits chimiques…), l’allergie est peu présente – Source « Essentiel Santé »